dimanche 1 novembre 2020

L’ARGENT PUBLIC POUR LA SANTÉ PUBLIQUE

    Quand j’écrivais, mi-octobre, St-Jacques et quarante-deux autres communes de Rennes Métropole venaient d’être mises en alerte sanitaire renforcée.

      Les personnels soignants et non-soignants dans les hôpitaux, les personnels des EPHAD et les infirmières ou aides à domicile, comme en mars-avril lors de la première vague, étaient toujours sous tension. Par exemple, au C.H.U Pontchaillou et au C.H.S Guillaume Régnier de Rennes, faute d’effectifs suffisants, les personnels « Covid + » mais asymptomatiques devaient quand même venir travailler…

      En fait, malgré la crise du printemps, rien n’a changé. Le système de santé est à la limite de la rupture et le gouvernement n’a rien fait pour anticiper.

      Alors, dans l’urgence de la situation sanitaire, l’argent public doit servir à embaucher massivement et rapidement, avec des salaires décents, des infirmières, des aides-soignantes, des aides à domicile, des médecins, tout le personnel nécessaire à la santé de la population.    

 Tribune Lutte Ouvrière du journal municipal (novembre 2020)

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