lundi 30 septembre 2013

La fête de Lutte Ouvrière à Rennes


La fête de Lutte Ouvrière aura lieu le samedi 5 octobre 2013, de 15 h à minuit,
au Centre social Carrefour 18,  n° 7, rue d'Espagne, à RENNES. (Métro Henri Fréville)

Ce sera l'occasion de discuter, dans une ambiance fraternelle,
des objectifs que le monde du travail devra se donner dans les luttes nécessaires qu'il mènera face aux attaques du patronat et du gouvernement.


Au programme :

Des débats :

    à 16 h : Face à la bourgeoisie qui, à droite, à gauche et à l'extrême-
droite, dispose d'une palette de serviteurs, 
il faut à la classe ouvrière un programme et 
des organisations qui représentent ses intérêts.

    à 22 h : Égypte, Syrie, les classes populaires sous la double
 oppression de la réaction religieuse et de l'armée.



Des spectacles musicaux :

    à 17 h  : Jour de veine. Reprise de chansons françaises

    à 21 h  : La Cazuela. Chants latino-américains


à 18 h : Allocution politique de Jean Pierre MERCIER
Porte-parole national de Lutte Ouvrière
et un des animateurs de la grève de PSA Aulnay

à 19 h 30 : Apéritif et repas (Couscous)


Des expositions politiques
Une librairie pour petits et grands et pour tous les goûts
Un espace réservé aux petits
Des jeux
Un cabaret
 De la restauration :
pizzas, quiches, huîtres, gaufres, crêpes, pâtisserie, glaces
Une buvette


Entrée à l'avance (me contacter) : 5 
Entrée sur place : 6 € 
Couscous : 7 €

samedi 21 septembre 2013

Venez discuter avec des militants de Lutte Ouvrière

Mercredi 25 septembre
10h30 à 12h30
cours Camille Claudel
(près du Carrefour market)
quartier de la Morinais
St Jacques de la lande
Venez discuter avec des militants
de Lutte Ouvrière

mardi 17 septembre 2013

Conseil municipal du 16 septembre 2013

Au Conseil municipal du lundi 16 septembre, lors d'une délibération sur la création d'un poste "Emplois d'Avenir" je suis intervenu sur les moyens de  réellement combattre le chômage :

"    Je ne pense que ce sont des contrats précaires qui compenseront les 500 000 emplois qui ont été supprimés en un an et les milliers d'autres qui seront supprimés prochainement, notamment par les grosses entreprises. Rien que localement, PSA supprime 1 400 emplois à la Janais et des centaines d'autres suppressions suivront dans la sous-traitance automobile.
 
    Pour réellement combattre le chômage il faudrait interdire les licenciements, mesure d'autant plus vitale pour la population en période de crise.

    Bien sûr je ne voterai pas contre cet emploi d'avenir car il aidera momentanément un jeune au chômage, mais je m'abstiendrai car je pense que l’État et les collectivités locales devraient créer des emplois stables nécessaires au bon fonctionnement des services publics."