La COP28 s’est tenue début
décembre à Dubaï. Tout un symbole !
De fait la
« transition énergétique » est essentiellement portée par la
population et les communes. Les entreprises privées qui tiennent des pans
entiers de l’économie y sont quasiment absents.
Le bilan du capitalisme
dans ce domaine est désastreux. Dominé par la recherche du profit maximum et le
plus immédiat possible, ce système économique entraîne le réchauffement
climatique et de graves pollutions.
Les politiques écologiques
des gouvernements se réduisent, en fait, à créer des taxes qui pèsent sur les
budgets des plus pauvres et à distribuer des subventions aux entreprises, au
nom de la « transition énergétique ».
Sur toutes les questions
écologiques, une politique concertée et planifiée à l’échelle de la planète
serait nécessaire. Or, le capitalisme c’est le règne de la concurrence et de
l’intérêt particulier, au détriment de l’intérêt général.
Mettre fin à ce système,
irresponsable vis-à-vis des ressources de la planète, est la seule manière
conséquente de se battre pour une société respectueuse de son
environnement. »
Tribune Lutte Ouvrière du journal municipal
(janvier-février 2024)
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire