Quand j’écrivais, mi-octobre, St-Jacques et quarante-deux autres communes de Rennes Métropole venaient d’être mises en alerte sanitaire renforcée.
Les
personnels soignants et non-soignants dans les hôpitaux, les personnels des
EPHAD et les infirmières ou aides à domicile, comme en mars-avril lors de la
première vague, étaient toujours sous tension. Par exemple, au C.H.U
Pontchaillou et au C.H.S Guillaume Régnier de Rennes, faute d’effectifs
suffisants, les personnels « Covid + » mais asymptomatiques devaient
quand même venir travailler…
En fait,
malgré la crise du printemps, rien n’a changé. Le système de santé est à la
limite de la rupture et le gouvernement n’a rien fait pour anticiper.
Alors,
dans l’urgence de la situation sanitaire, l’argent public doit servir à embaucher
massivement et rapidement, avec des salaires décents, des infirmières, des
aides-soignantes, des aides à domicile, des médecins, tout le personnel
nécessaire à la santé de la population.
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